À la Renaissance, la Loire est une véritable autoroute, une artère de communication majeure pour le transport et le commerce du pays. Les bateaux et les acteurs sont divers, les difficultés de navigation sont nombreuses.
Une corporation particulière, la « Communauté des Marchands fréquentant la rivière de Loire et fleuves descendant en icelle » agit comme une sorte de syndicat pour l’entretien du chenal, la signalétique appelée balisage et la gestion des péages. Elle régit les indemnisations et défend l’intérêt de ses membres.